Relax Hôtel Casa Voyageurs, c’est 94 chambres et suites au design moderne et des espaces communs cool où partager des moments avec vos amis ou vos collègues. Situé en plein cœur de Casablanca, il permet de vous rendre facilement où vous le souhaitez. Il est implanté à 500 mètres de la gare Casa Voyageurs, qui relie directement l’aéroport en 30 minutes, et juste à côté du tramway. Il se trouve entre 10 et 20 minutes des Habous, de la mosquée Hassan II, de la Corniche, de la zone industrielle de Aïn Sebaa et du quartier d’affaires de Sidi Maarouf. En somme, un point de départ intéressant que vous veniez pour vivre la ville ou pour raisons professionnelles.
Le Relax Hôtel Casa Voyageurs est situé dans le quartier Belvédère, au cœur de la ville de Casablanca, près du centre-ville. Il est à 500 mètres de la gare Casa voyageurs, à côté de la station de tramway et à 10 minutes de la zone industrielle de Aïn Sebaa et à 20 minutes du quartier d’affaires de Sidi Maarouf.
Capitale économique du Maroc, Casablanca est une cité moderne, reconnue pour son patrimoine architectural Art déco et néomarocain. Elle attire aussi pour son dynamisme et ses activités culturelles. La ville blanche est également une destination de fête avec ses cafés, restaurants et night-clubs en tout genre.
Admirer l’architecture Art déco
Au début du XXe siècle, Casablanca a été un véritable laboratoire d’expérimentation pour les architectes français. Cette expérience en fait aujourd’hui encore une ville mondialement connue pour son riche patrimoine architectural Art déco. Plusieurs quartiers et artères témoignent de cette période architecturale prolixe, rapidement influencée par le modernisme. Le boulevard Mohammed V et ses ruelles avoisinantes concentrent de nombreux bâtiments Art déco et Art nouveau, tout comme le boulevard Roudani avec le musée la Villa des Arts installé dans une demeure des années 30. Un peu plus loin, le boulevard Rachidi avec le musée Abderrahman Slaoui qui a pris place dans une jolie maison des années 40, ou le quartier Anfa avec ses villas…
Faire du shopping dans le 2e plus grand mall d’Afrique
Casablanca est devenue une destination de shopping. Les enseignes internationales de prêt-à-porter les plus connues, ainsi que les plus prestigieuses marques de luxe y ont élu domicile. Elle dispose également de plusieurs centres commerciaux dont le plus grand du Maghreb, et le deuxième plus grand d’Afrique : le Morocco Mall. Installé face à l’Atlantique, il compte plusieurs centaines de boutiques et une zone luxe à l’étage. Il inclut même un espace souk avec des produits d’artisanat.
Se balader sur la corniche
La première partie de la corniche, qui démarre en ville, est animée et parsemée de cafés et de restaurants avec vue sur l’océan. Quelques piscines privées ont également étaient aménagées. Si vous continuez sur le boulevard de l’Atlantique, c’est la plage qui se déroule à votre droite. Vous pouvez alors prolonger votre balade sur le sable. Cette zone est appréciée par les sportifs. S’y rendent les marcheurs et les coureurs, comme ceux qui souhaitent des moments plus calmes, face à l’Atlantique, jusqu’à la plage de Aïn Diab.
Célébrer la vie nocturne
Casablanca est également une ville de sorties. Elle regorge de cafés, de restaurants et de night-clubs en tout genre. Si la célèbre corniche en concentre beaucoup, le centre-ville et les nombreux hôtels ne sont pas en reste. Il y en a pour tous les goûts. Vous pouvez aisément changer d’atmosphère d’une soirée à l’autre : lounge, musique live, boîte de nuit… Faites votre choix.
Découvrir les galeries d'art
La ville blanche est également reconnue pour ses nombreuses galeries d’art qui célèbrent les artistes de la scène picturale contemporaine du Maroc. Parmi les plus connues : L’Atelier 21, Loft Gallery, la Galerie 38, la Galerie H, Venise Cadre, la Galerie Shart, So Art Gallery…
Flâner dans le parc de la Ligue arabe
C’est l’un des parcs de la ville. Crée en 1916, il a été entièrement rénové récemment et offre un joli lieu de promenade ou de pause dans un cadre verdoyant lors de votre déambulation à la découverte du Casablanca Art déco. Il se trouve non loin du boulevard Mohammed V et mène au boulevard Rachidi où vous pouvez admirer quelques villas intéressantes. C’est également un espace pour les marcheurs et les joggers.
Les Habous, une médina « nouvelle »
Casablanca a ceci de particulier qu’elle compte deux médinas : l’ancienne près du port et une dite « nouvelle », dans le quartier des Habous. Cette dernière a été conçue il y a plus d’un siècle seulement, à partir de 1917, sous le protectorat, afin de loger les Marocains musulmans qui arrivaient de toutes les régions du pays, dans la tradition architecturale marocaine. En plus des logements, des cent cinquante boutiques et des arcades de la rue principale, lui ont donc été adjoints une grande mosquée et un hammam. « Les Habous », comme cette médina est simplement appelée aujourd’hui, à l’architecture reconnaissable notamment à ses pierres brunes, abritent des boutiques d’artisanat, de vêtements traditionnels et le célèbre marché aux olives.
La mosquée Hassan II
Cet édifice religieux majestueux fait partie des trois mosquées les plus grandes du monde. Chef-d’œuvre de l’architecture arabo-musulmane, la mosquée Hassan II est une ode à la finesse et la délicatesse de l’artisanat marocain. Ce sont pas moins de 3.300 artisans marocains de renommées nationale et internationale qui ont déployé tout leur savoir-faire et leur dextérité pour sublimer ce lieu de culte majeur du monde musulman. Construite en partie sur l’océan Atlantique, véritable prouesse technique, et inaugurée le 30 août 1993, elle est la mosquée des superlatifs. Son minaret culmine à 200 mètres. Un rayon laser, d’une portée de 30 kilomètres et orienté vers la Mecque, jaillit de son jamour, haut de 15,5 mètres et constitué de trois boules dorées. Sa salle d’ablution compte 41 fontaines. Elle peut accueillir 105 000 fidèles, dont 25 000 à l’intérieur et 80 000 sur sa grande esplanade. Elle s’étend sur une superficie de 9 hectares et a été réalisée par 12 500 artisans et ouvriers en 6 ans. Et ce, grâce à l’ensemble des Marocains, puisqu’elle a été financée par une souscription nationale.
La Villa des Arts
Dans cette villa Art déco construite en 1934, la fondation Al Mada propose tout au long de l’année un programme riche d’expositions d’artistes nationaux, mais également internationaux. L’occasion d’admirer tant des œuvres picturales que l’architecture Art déco de la villa lovée au milieu d’un jardin. En plus des expositions, le lieu accueille des colloques sur différentes thématiques autour de l’art, au sens large, présentés par des spécialistes en la matière.
Le musée Abderrahmane Slaoui
Ce musée installé dans une villa des années 40 a été scénographié pour être visité comme une maison de collectionneurs, sur 600 m² et 3 étages. Et c’est ce qu’il est, puisqu’il renferme les collections d’Abderrahmane Slaoui, grand collectionneur, voyageur, esthète et humaniste. Les collections permanentes se répartissent en différentes thématiques : flacons de khôl et tabatières, céramique de Fès, affiches orientalistes, bijoux marocains, cabinets de curiosité… Le musée Abderrahmane Slaoui programme également des expositions temporaires d’œuvres d'artistes locaux et internationaux.
Le musée du Judaïsme marocain
Le bâtiment qui abrite aujourd’hui le musée du Judaïsme marocain a hébergé, de la fin des années 40 jusqu’aux années 70, un orphelinat. C’est Célia Bengio, Marocaine de confession juive, qui décide de créer une association d’aide aux enfants juifs abandonnés. En 1948, elle fait construire ce qui deviendra le Home d’Enfants Murdock Bengio, en hommage à son défunt mari. À la fin des années 70, le lieu reçoit de nouveau des enfants, mais en tant que Yéchiva : l’école religieuse juive, et ce, jusqu’au milieu des années 80. Le local ferme une nouvelle fois ses portes pour ne les rouvrir qu’en 1997 à la faveur de la création du musée du Judaïsme marocain. Dans son exposition permanente, il donne à voir des objets de culte et leur spécificité marocaine à travers des pièces majeures : rouleaux de la Thora et leurs ornements, lampes traditionnelles de synagogues, éléments de la cérémonie de Bar-mitsva, lampes de hannouccah, rouleaux d’Esther, chaises de circoncision, estrades de synagogues
L’ancienne église du Sacré-Cœur Située sur le boulevard Rachidi, qui compte encore quelque exemple de villas Art déco préservées, se trouve l’ancienne église du Sacré-Cœur. Souvent appelée, à tort, cathédrale par les Casablancais, elle doit sans doute son surclassement religieux à l’importance que cet édifice a pris dans la ville. Elle a été érigée entre 1932 et 1959 et conçue par l’architecte français Paul Tournon. Blanche, imposante, flanquée de deux tours carrées, qui ressembleraient à des minarets selon certains, elle a perdu depuis longtemps sa mission religieuse (ses vitraux colorés ont même étaient cachés), mais reste partie prenante de la ville. Sa vocation est devenue culturelle. En attendant que ce statut soit officialisé et acté, très prochainement, elle a déjà reçu des expositions et autres défilés de mode, avec succès.
La place Mohammed V et son architecture néomarocaine
Connue pour son architecture Art déco, Casablanca abrite également de beaux bâtiments de l’architecture néomarocaine, dont quatre majeurs encadrent la place Mohammed V.
La Grande Poste : ce bâtiment, construit entre 1918 et 1920 par Adrien Laforgue, sera le premier à inaugurer la place. Si au premier coup d’œil, la Grande Poste offre une sobriété presque austère, en vous approchant, vous pouvez admirer en haut de la façade principale, sous l’auvent central recouvert de tuiles vertes, un panneau coloré de zelliges verts et bleus. L’intérieur est également intéressant avec sa coupole de cèdre sculpté et vitrée. Le bâtiment ayant toujours sa fonction publique de poste, vous pouvez aisément la visiter, contrairement à d’autres édifices de la place.
Le Palais de justice : En face, le Palais de justice est signé Marrast et a été construit en 1921-1922. Cet architecte a joué un rôle important quant à l’élaboration du plan final de la place auprès de Prost. Ce bâtiment particulièrement imposant fait face à un parc qui laisse s’exprimer toute sa façade agrémentée des arts traditionnels du Maroc, un point voulu par Lyautey qui s’est clairement investi dans cet ouvrage. Le Palais de justice s’ouvre, en son centre, par un large escalier, comme dans la tradition des bâtiments judiciaires français. Mais sa porte monumentale en arc ogival, à l’image de celles des médinas, et son agencement restent marocains. En pierre brune sculptée, qui se retrouve dans de nombreux édifices de style néomarocain, le porche est ceint dans sa partie haute par une double frise de zelliges bleus et verts. La première se prolonge sur les galeries qui courent à droite et à gauche de l’entrée, la seconde plus large, ajoutant des touches légères de rouge profond, est surélevée et comporte un tour de pierres sculptées surmonté d’un toit de tuiles vernissées vertes. Les deux galeries, agrémentées de plafonds de cèdre, laissent entrevoir de généreux patios richement paysagés.
La wilaya du Grand Casablanca : L’hôtel de ville, devenu la wilaya du grand Casablanca, a été d’abord dessiné en 1914 par Prost, puis précisé par Marrast en 1920, pour être finalement réalisé par Boyer qui a remporté le concours en 1927, avec une approche nettement plus marocaine que ses prédécesseurs. Achevé en 1937, la même année que Bank Al Maghrib, il allie plusieurs styles, avec notamment toujours le néomarocain pour les façades, l’Art déco pour les ferronneries et les intérieurs. L’horloge n’est pas sans rappeler les minarets des mosquées. Parmi les éléments forts, les arcades, la pierre sculptée et bien sûr les tuiles vernissées vertes. Comme le Palais de justice, l’édifice dispose de patios.
Bank Al Maghrib : ce bâtiment, considéré comme un des plus aboutis du style néomarocain, a été réalisé par Edmond Brion. La façade monumentale et le portique sont très travaillés avec notamment une frise géométrique de pierre sculptée. À l’intérieur du portique, ne manquez pas les piliers octogonaux en granit de Trieste et les délicats losanges stylisés dont ils sont surmontés. Sous ce même portique, vous pouvez également admirer la majestueuse porte en ferronnerie aux lignes géométriques, encadrée d’un granit noir de Belgique qui contraste avec tout le mur en traversin et de carrés verts de Taza. La place Mohammed V s’enrichit d’un nouvel ouvrage architectural: le Grand Théâtre de Casablanca.
Vous avez plusieurs choix de transports pour explorer la ville :
Location de voitures : Vous pouvez louer une voiture avec ou sans chauffeur. Cependant, veuillez noter que les conditions de circulation peuvent être difficiles, et les embouteillages peuvent rapidement devenir stressants.
Taxis : Les taxis sont facilement disponibles dans la ville. L'option la plus pratique est d'appeler l'opérateur Green Taxi, qui ajoute un supplément de 10 dirhams pendant la journée et 15 dirhams la nuit au tarif du compteur. Vous pouvez également utiliser des applications de taxi ou de covoiturage comme Careem, qui sont disponibles à Casablanca.
Tramway : Casablanca dispose d'un système de tramway depuis plusieurs années, offrant un moyen pratique et efficace de transport en commun dans toute la ville.
Explorer vos options de transport à Casablanca garantit que vous pouvez voyager confortablement et commodément pendant votre séjour